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Laïcité 2005

12 décembre 2010

Cérémonie au square Charles-De-Gaulle

 

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À l'occasion de l'anniversaire du vote de la Loi de 1905, le square Charles-De-Gaulle s'est doté d'un espace dédié à la laïcité. Hier, à midi, une centaine de personnes était regroupée devant le donjon, les regards tournés vers le drapeau français qui dissimulait encore le nom de cette nouvelle plaque. Pierre Cohen, maire de Toulouse, a levé le voile sur l'« espace dédié à la laïcité ». « C'est un message qui correspond à nos valeurs. La laïcité n'est pas une vision philosophique, mais le socle de la République, explique Pierre Cohen. Il faut tolérer toutes les confessions, dans le respect d'autrui ».

Pour le président Garrigues de la Commission nationale de la laïcité, « l'emplacement est politiquement fort car il est situé derrière l'hôtel de ville et près de la statue de Jean-Jaurès. De plus c'est une grande première car l'endroit est sur le domaine public. Trente-cinq autres communes suivent le mouvement en ce moment ».

 

La depêche du midi
Publié le 10/12/2010   | Agnès Farrugia
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/10/967365-Ceremonie-au-square-Charles-De-Gaulle.html

 

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20 juin 2010

Des pressions contre une œuvre auscitaine

 

La mairie d'Aire-sur-l'Adour a décroché hier une œuvre de Christine Fort exposée dans la cité landaise. L'artiste gersoise avait été invitée par l'association Annexe urbaine à participer à une expo collective sur les sept péchés capitaux, soutenue par la ville. Ces œuvres devaient être installées dans des lieux publics du 7 juin au 31 août. Tout a bien débuté et « nous avons eu de très bons échos » dit Angèle Chanjou, présidente de l'association. Y compris de la mairie dont elle loue le travail. Puis vendredi, jour du vernissage, la municipalité a demandé à l'association de décrocher l'œuvre. Le motif ? Le matin même, « nous avons des protestations plus que vives qui sont arrivées », dit Gilberte Pandart, adjointe en charge de la culture. « De catholiques », précise-t-elle en se défendant de censure « car le 7 juin,

 

[nous avons] accroché toutes les œuvres ». L'élue précise qu'elle et le maire en ont discuté avec Christine Fort lors du vernissage. Car l'association avait demandé que le décrochage ne se fasse qu'après l'inauguration et que l'œuvre soit ensuite exposée dans son local. Les services municipaux devaient œuvrer samedi. Hier, Christine Fort était accablée par cette affaire, d'autant que pendant quelques heures, l'œuvre semblait avoir disparu. Un souci de communication : les services municipaux l'avaient bien décrochée mais très tôt. Elle devrait rejoindre la vitrine demain. Mais que représente ce panneau pour avoir suscité une telle levée de boucliers ? Il a été réalisé en avril dans le cadre d'un travail de réflexion que mène Christine Fort sur l'actualité: elle travaille et repeint des textes et images. Il s'agit d'une « Une » de Libération qui traitait des scandales de pédophilie au sein de l'Eglise catholique. « Cela n'était pas fait dans une idée de provocation », dit-elle, « c'est vraiment une image d'actualité. Il n'y avait pas de mal pour moi ».

Mais les protestataires n'ont pas apprécié de voir voisiner les mots pédophiles et pape. Gilberte Pandart dit que la municipalité a agi par souci d'apaisement «dans un contexte de fêtes et avec des gens très remontés». Annexe urbaine n'a pas la même analyse. « Je pense qu'ils n'ont pas mesuré ce que ça représentait de céder », dit Angèle Chanjou. F.R.

PUBLIÉ LE 20/06/2010 08:06 | LADEPECHE.FR

http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/20/858466-Des-pressions-contre-une-uvre-auscitaine.html

christinefort

 

http://journalduneresistante.blogspot.com/

 

19 décembre 2009

Les islamistes somaliens n'hésitent pas à harceler et à humilier les femmes

DE  PLUS EN  PLUS  GRAVE.....
Les islamistes somaliens n'hésitent pas à harceler et à humilier les femmes qui ne s'habillent pas de façon «décente» : celles qui portent un soutien-gorge sous le voile sont fouettées en public.

Laszlo Molnar - le 12 novembre 2009, 21h58
Le Matin

En Somalie, sous peine de coups de fouet, les seins doivent être nus sous le voile des musulmanes. C'est le mouvement Al-Chabab («Jeunesse» en arabe) qui en a décidé ainsi. Ce groupe islamiste, qui n'a rien à envier aux talibans d'Afghanistan, contrôle plusieurs régions dans le sud et le centre de la Somalie, ainsi qu'une grande partie de Mogadiscio.

L'affaire a été confirmée dernièrement par un chef du mouvement fondamentaliste. Il a expliqué que ce sous-vêtement est anti-islamique, impur et offensant. «Les islamistes disent que la poitrine d'une femme doit être ferme naturellement, ou bien plate», a expliqué au journal africain Gabon Eco la mère d'une fille punie sévèrement en octobre par les extrémistes.
 Convaincus que le port du soutien-gorge va à l'encontre de l'enseignement de l'islam, des militants d'Al-Chabab ont fouetté ces derniers jours en public plusieurs femmes qui portaient ce sous-vêtement. Selon eux, «le soutien-gorge trompe sur l'état naturel des seins, accentue les formes féminines et suscite des désirs sexuels». Les miliciens multiplient donc les points de contrôle pour exiger des femmes qu'elles sautent et secouent le torse, pour vérifier si les seins bougent naturellement...
 «Ils nous forçaient déjà à porter des voiles et des vêtements qui couvrent intégralement le corps, a raconté Halima, une habitante de Mogadiscio. Et maintenant, s'ils voient une femme avec des seins trop rigides, un homme masqué vient la fouetter en public. Puis les hommes armés exigent qu'elle enlève son soutien-gorge et qu'elle secoue sa poitrine...»

 Somaliens choqués
 Selon plusieurs témoins, les gardiens de la charia brûlent leurs trophées en public pour «donner l'exemple», a écrit le Times.. Les agissements d'Al-Chabab ont choqué la majorité des Somaliens, qui pratiquent un islam modéré, «Ce comportement est inexcusable, nous a déclaré hier le Genevois Ali Benouari, qui a été ministre en Algérie. La décision du mouvement Al-Chabab est une débilité mentale qui n'a rien à voir avec la religion. Elle montre malheureusement le niveau intellectuel qui sévit en Somalie. Il est plus facile de s'en prendre à des êtres sans défense que de régler les problèmes de ce pays où règne le chaos. Ces gens refusent ainsi à la femme le confort vestimentaire afin de mieux les humilier. Mais torturer une femme, de quelque manière que ce soit, n'a jamais été un précepte religieux.»
 L'ancien porte-parole de la mosquée de Genève, Hafid Ouardiri, abonde dans le même sens. Pour lui, interdire les soutiens-gorge est d'une «parfaite stupidité». La décision d'Al-Chabab «fait énormément de tort à l'islam. Elle a été prise davantage en réaction à l'Occident que pour des motifs religieux».
Une anarchie totale règne dans le pays
 La Somalie est plongée dans une guerre civile atroce depuis la fin du régime du dictateur Siad Barre en 1991. Le pays vit sous la domination de seigneurs de guerre sans idéologie ni agendas politiques, leurs seules motivations étant l'appât du gain et le pillage. C'est en 2004 que l'Occident entend parler pour la première fois du mouvement Al-Chabab qui déclare la guerre aux autres factions et intègre de fait les autres formations islamistes. Al-Chabab rencontre un certain succès militaire. Mais la situation dans le pays est toujours chaotique à l'extrême. Ses côtes servent de base arrière aux pirates et sa population est ravagée par la famine. Les lapidations y sont banales. L'Unicef a condamné dernièrement la lapidation pour «adultère» d'une fillette de 13 ans, victime d'un viol. Cet acte barbare illustre l'extrême vulnérabilité des filles et femmes somaliennes dans ce conflit généralisé responsable par ailleurs hier de l'assassinat d'un juge dans le nord du pays. Il a été abattu dans une mosquée. Le magistrat avait condamné des pirates, ainsi que des islamistes, selon l'AFP. 

 

20 novembre 2008

Bienvenue dans le Blog de l'association Laïcité 2005

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